En route à la découverte d'un autre monde !

Ce mercredi 3 Juillet prochain à partir de 21h, préparez-vous à embarquer pour un voyage inattendu ! *rit*

Au menu:

• Histoires Draconiques
  
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• Mise en situation*
  

Venez nombreux, personne ne sais où nous irons !


Amicalement,


Fridee


(HRP) Les cadavres excquis de l'Ordre Draconique sont de retour ! Pendant 1h-1h30, laissez-vous guider dans une toute nouvelle histoire concoctée par votre humble serviteur! (/HRP)


*l'organisateur se réserve le droit de quérir le service de charmantes demoiselles présentes dans l'assemblée comme illustrations de l'histoire en cours de rédaction

(HRP)
Que voilà un post intriguant
Bon je serai là pour expérimenter héhé.
Une bonne dose de délire sera la bienvenue je pense après 3 jours de boulot intensif^^

Merci à tous de vous être déplacé pour cette très belle soirée.
Sans plus attendre, car oui je sais que vous l'attendez, je me permet de vous accrocher sur le tableau l'histoire que nous avons créée !

*se rapproche du tableau et y accroche un looooooong parchemin*

Nous étions dans un bel endroit, débordant de lumière et où l'on pouvait entendre des enfants jouer dans l'eau au loin. Ils étaient rieurs et criaient ! Mais que pouvait-il se passer !?
Paulolo, le nain, décida d'aller voir Stioubawl le cheval blanc, et lui murmura à l'oreille:
-"Tu pense que je pourrais monter sur ton joli dos velu et toi, moi et l'autre, on s'enfuirait vers d'autres cieux? Et aussi on chevaucherait des papillons jusqu'à notre nouvelle étape ?"
C'est dans cet esprit bucolique que nos aventuriers se mirent en route vers les collines verdoyantes qui, selon la légende, abritaient des petits campements de feuilles où vivaient des écureuils passant leur temps à danser et boire jusqu'au bout de la nuit en pensant à la suite des événements.
Tout en marchant vers la porte, Paulolo vida sa chope et étant déjà complétement bourré, il se la mangea. Se relevant autant que faire se peut, il reprit la route avec ses compagnons jusqu'à ce q'un sanglier orange se rue hors d'un buisson, renversant le nain et lui brisant la rotule droite.
-"Bon dieu !" dit-il. "Saleté de bestiole, si je réussis à l'attraper je lui retourne la peau comme une chaussette avant de la tendre !"

Les nuages s'assombrirent. On n'entendait plus un bruit, pas même les oiseaux nocturnes qui d'habitude peuplent la nuit de leur "piou-piu-poou piu-pi piu-piu", guidant nos héros vers une énooooooorme verge !
Le papillon du groupe qui jusqu'alors demeurait silencieux fit la preuve de son langage fleuri:
-"Culé ! Qu'est-ce que ! Merde ! Vous ne pouvez pas voler dans l'air comme tout le monde ? Bande de cloporte ! Mais j'vous jure à l'heure actuelle ils trouvent tous leur permis de conduire de papillon volant dans les oeufs de Laethys ma parole !!! CLOOOOPOOOORTEEE !! ça fait la troisième fois aujourd'hui !! Mais croyez-moi je vais retourner encore une fois la peau de ce sanglier avant qu'on ne parte moi aussi si c'est comme ça ! Et après je retournerais en ville afin d'aller voir si le marchand ne m'avais pas arnaqué sur sa foutue épée de nain."
-"Tu ne serais pas là en train de te demander comment rentrer dans le lard de cette individu effrayant si tu étais un nain" répondit Paulolo. "Tu l'aurais déjà fait ! En plus, le lard c'est bon, bien cuit sur un feu doux. Surtout le lard de Bahmi, très bon !"
Mais c'est alors qu'ils se regardèrent tous, l'air intrigués et affolés, se rendant compte de ce qu'ils venaient de faire... de... si... MAGNIFIQUE ! Que leur groupe soit tous d'accord, c'était grandiose ! Ravissant comme un cerf qui joue de la guitare ! Mais qu'allais donc penser Eustache qui, lui, était loin d'imaginer qu'un petit cerf au nez rouge savait aussi bien jouer du luth !?
Finalement il s'en fichait et ils reprirent leur chemin tout simplement.

-"C'est pas possible, je dois tout faire moi même avec ces incapables" se dit le nain.
Il remonta son froc avec conviction et se dirigea vers l'étale du marchand en boitant du train arrière à cause de la gène occasionnée par son infection urinaire. Puis, sur la route, pour se soulager, il allait faire ce qu'aucun nain avant lui n'avait fait ! Imiter le bruit d'une chikungunia enragée de la forêt sombre de Zartan ! C'était scandaleux, irrespectueux, obscène, vulgaire. D'une nonclassiture à faire relever le sanglier dépecé. Mais il se peut que le nain fut poussé à faire ça à cause de son indigestion. La chiasse, ça rend de mauvais poil. Les médecins ne savaient plus quoi inventer pour le soigner...
Alors, en désespoir de cause, on lui tira la culotte, on lui prit le visage, le groupe se plaça derrière lui pour lui envoyer un coup de latte magistral. Le nain fut alors envoyé boulé jusqu'au fond d'un trou rempli de ronces aux épines de la taille d'un poignard. Puis, reprenant ses esprits, le nain le vit. Là, au milieu des ronces... le précieuuux...
Il se jetta dessus et se blessa en le prenant. Il se releva tout endolori, des larmes de joie coulaient autour de ses yeux gonflés.
Mais après tout, c'était un nain. Après tout, Bulbizarre de son vrai nom, "roule ma poule" comme aimait l'appeler son père, avait toujours été quelqu'un d'étonnant. Une poule qui roule...
Son père était un bricoleur et l'animal boiteux avait eu de la chance tout compte fait. Plus que le fils, dont le nom ne résonnait dans aucun chant. Ce n'était, tout compte fait, vraiment pas décent.

Le nain réussit à sortir bon gré mal gré de cette imbroglio de ronces. Il saignait énormément. C'est alors qu'il aperçu une sangsue qui lui aspirait tout le contenue de ses veines. Il la coupa en deux mais la bête était hémophile et ce qui devait arriver arriva.
Il fut couvert de sang des pieds à la tête en quelques secondes. Qui eut cru qu'une si petite chose pouvait faire tant de désordre. il pensait déjà aux insultes de sa femme quand elle devra tout nettoyer.
Mais sa femme, le méchampignon le méchant champignon, arriva et lui claqua les fesses avec un rouleau de boulanger.
-"Vilain ! Je vais te faire souffrir !" dit-il. Puis il sorti un collier pour chien mais se figea tout d'un coup à la vue de tout ce sang. Il se retourna pour voir le pauvre torturé au postérieur ensanglanté.
Le rouleau était couvert de clou, d'où sortait-il ça ? Sûrement de chez les cultistes du coin. Il fallait être un malade  pour inventer un truc pareil.
Et puisqu'il fallait y passer, autant dire la vérité. Ces cultistes étaient absolument tous des MICHANTS PAS BEAUX ! Et des pas gentils en plus ! On pouvait même dire carrément des abomifreux venus en masse pour tuer, étriper et violer veaux, vaches et cochons.
Au regard de cette scène, le nain Paulolo Bulbizarre se relevait de ce chaos survenant après son passage. Il reparti compléter ces actes odieux et sans scrupules, ricanant de son nouveaux méfait. Oui, il avait tout organisé. Et tout en admirant son acte d'un regard fou pour ensuite détourner définitivement les yeux, il s'éloigna sans un mot.

Tam.